Le chemin spirituel marianiste s’est construit en temps de trouble, d’insécurité et de changement.
Le calvaire est le lieu où à la fois tous les espoirs sont perdus et tous les espoirs sont permis. C’est aussi le lieu où Marie demeure dans la foi et reçoit Jean comme fils. Pour le père Chaminade le marianiste comme Marie, s’y rend par choix…
Née dans la tradition des religieuses et laïcs autour de mère Adèle, puis des religieux marianistes la prière de trois heures devient, explicitement dans les constitutions de la Société de Marie de 1967 (art. 95), le rendez-vous spirituel de tous les marianistes et des membres de la Famille de Marie.
En ces jours où, de manière inédite, subite et inattendue, nous devons prendre des distances physiques et où nos certitudes matérielles vacillent, la famille marianiste suisse voudrait renforcer et revitaliser ses liens, sa louange et son espoir en vous proposant, membres et amis, de nous réunir régulièrement par cette prière.